I lost my mind, but don’t worry.
Don’t try to find it; I don’t want it back.
It’s an old one full of corpses and frozen ideas.
If you find it, you can keep it.
I am working on a new one.
We are all familiar with the McLean 3 brain theory: The cortex is logical and rational, the limbic is emotional, and the reptilian is instinctive and about survival. However, quantum physics shows us that we are missing the most crucial brain: the Fourth Brain.
The fourth brain is not Binary. We are not good OR bad We are all good AND bad, and more, which opens up the quantum field of infinite possibilities.
The fourth brain is not limited to our nervous system. We are surrounded by and constantly immersed in and influenced by our environment. We receive constant waves of energy from material things, and as quantum physics teaches us, everything is connected, and everything is energy.
My house is not inert. It sends me signs, vibrations, and waves of energy. It does not just influence my way of thinking and being; it is my fourth brain.
As it is, my dog is constantly communicating with my other brains. Some people will call the fourth brain the Exo-Brain, but it’s a mistake as my fourth brain is united with my other brains.
Descartes separated the mind from the body, but we know they are one today. Now, with quantum physics, we know that everything is connected.
Our three brains are definitely connected and influenced by our guts, hearts, and many more connections that we have yet to discover.
The beauty of our fourth brain is that it is not linear. It is not B after A and C after B. It goes in all directions at once.
We are our past, present, and futures (plural intentional). According to quantum physics, time goes in all directions. I know it’s spooky, but a consequence might happen before the cause.
So the fourth brain can explain premonition, visits to the future, modification, and reinvention of our past, parallel universes, former lives, and more. Always and
more as the fourth brain is always « Becoming » and never finished.
In summary, the Fourth Brain is our Quantum Brain. It means accepting uncertainty (the Heisenberg uncertainty principle), that our science is reductive and atrophies our creative capacities, that we can be a multitude of people at once, and that there is no dogma but only probabilities.
It is time to stop the dictator of the BLT (Binary Linear thinking) and to start thinking Quantum by activating our FOURTH BRAIN.
Le temps est intemporel
L’espace vide et
L’énergie une vie qui fuit
À l’infini
Il faut contourner les détours
Effacer les souvenirs
Se gaver de peurs ancestrales
Pour réanimer la flamme qui nous brûle, torture insoumise de l’inexorable destin d’un matin incertain
d’une spirale sans fin, d’un amour enfantin qui meurt dans ma main, comme la rose de Ronsard.
Marâtre nature, ça fatigue d’être humain, dès le matin et d’y croire jusqu’au soir
Pour ensuite abandonner l’espoir. Portant il faut y croire et recommencer comme Sisyphus.
Je ne sais pas qui a écrit le scénario, mais il n’a pas essayé de s’échapper.
Pouvoir s’envole au-dessus des vagues sans chercher à résoudre les problèmes des autres, sans vouloir sauver
le ciel de la tempête, les vagues du vent, les plages du plastic, les dauphins des filets.
Le meilleur des mondes est dans ma tête, alors j’y retourne;
Pour l’instant…
On tue la pensée à trop cogiter
On oublie de respirer
À trop mijoter son cassoulet de contradictions préférées, on finit par bouffer des restes de clichés avariés, de vieilles pensées momifiées, de tentatives avortées et oubliées au musée des échecs de la cuisine mentale.
Il faut créer, chaque jour repousser l’impossible, s’échapper de soi pour rencontrer l’être futur l’inconnu que je serai demain et qui peut encore m’étonner, me surprendre et donne la flamme en se consumant sur le chemin du futur éclaire le chemin de mon destin.
C’est un art.
C’est passer trois heures à se maquiller pour que ça ne se voie pas.
C’est le foulard sur l’épaule parce que c’est inutile.
C’est avant tout ne pas avoir l’air de vouloir impressionner.
C’est le cavalier qui fait tellement corps avec son cheval qu’on ne le voit jamais donner un ordre.
C’est l’harmonie « mine de rien. »
C’est l’art de communiquer l’essentiel sans que ça se voie.
Le négligé est toujours très recherché.
Casual chic est toujours plus compliqué qu’un bon smoking qui a déjà servi avec fidélité.
Le « naturel » demande beaucoup de préparation pour que ça ne se voie pas.
Un certain détachement est plus « classe » qu’une volonté assidue pour réussir.
Le film « Les Cousins » de Chabrol montre le succès du Parisien insouciant alors que le cousin provincial qui a travaillé si dur rencontre un échec.
L’art de rien ! C’est un raffinement naturel, un talent inné, un acquis injustifié, une injustice ! Une supériorité qui ne s’achète pas !
Mais c’est aussi un talent qui peut s’acquérir, l’air de rien.
Avez-vous le temps ? Ne dites jamais OUI
On va vous le voler.
Il y a ceux qui ont le temps
Et il y a les voleurs de temps.
Donnez-moi cinq minutes !
Mes dernières cinq minutes je les ai déjà données.
Je n’ai plus de « cinq minutes » à donner.
J’ai perdu du temps !
Ne dites jamais que vous l’avez trouvé.
Dans mon temps ..
C’est le vôtre, gardez-le.
Le bon vieux temps, comme son nom l’indique c’est pour les vieux.
Par les temps qui courent ..
N’essayez pas de les rattraper. Ils sont déjà loin.
Il y a bien sûr le temps des cerises, le temps c’est de l’argent.
L’air du temps
Un temps fou
Juste à temps
Passer son temps
Le temps libre
Les temps morts
Avoir du temps à perdre
Le bon temps
Le temps qui passe
J’ai voulu l’arrêter pour prendre un verre mais le temps n’avait pas le temps.
J’aurais dû essayer un temps mort mais les temps morts ne boivent pas.
Quand l’heure arrive à pied, à cheval ou en voiture
Où il faut changer de rive
Pour trouver sa pointure
Alors commence l’aventure
Légère et sans dérive
Vers un lendemain
Incertain
Comme tous les lendemains
Pourquoi changer de rive
À pied, à cheval ou en voiture
Alors qu’une barque est à portée de main
Dès le matin
Mais changer de rive
En barque
C’est trop mesquin
Sans panache et sans voilure
Comme un voleur de temps
Coquin
Qui préfère la voiture
Au cheval fumant d’écume
Qui laboure l’histoire
Depuis toujours
Mais l’heure arrive
À rebours
Au détour d’une phrase
Comme toujours
Pour forcer la rive
À changer de côté
Et forcer le destin
Malin
À écrire l’histoire d’à côté
Comme s’il s’était trompé
De matin
Quand on ne veut plus changer de rive
Les passeurs meurent d’absence de destin
Caresse du matin
Sur la main d’un destin
Tueur de passeur
Quand l’heure arrive
De changer de destins
Il faut choisir son passeur d’un contact de la main
Sur sa peur