On tue la pensée à trop cogiter
On oublie de respirer
À trop mijoter son cassoulet de contradictions préférées, on finit par bouffer des restes de clichés avariés, de vieilles pensées momifiées, de tentatives avortées et oubliées au musée des échecs de la cuisine mentale.
Il faut créer, chaque jour repousser l’impossible, s’échapper de soi pour rencontrer l’être futur l’inconnu que je serai demain et qui peut encore m’étonner, me surprendre et donne la flamme en se consumant sur le chemin du futur éclaire le chemin de mon destin.